This content is unavailable in the requested language. Click here to see the French version of the page.
Aperçu du programme
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, et ce, même en Droit familial, l’erreur relative à la connaissance ou l’application du droit à des cas spécifiques ne constitue pas la faute principale alléguée dans les réclamations rapportées au Fonds d’assurance. Au contraire, les statistiques démontrent que la plus grande source des réclamations réside dans les problèmes de relations avocat/client, ce qui englobe les problèmes de communications.
Qu’est-ce qui fait qu’un avocat en Droit familial est un « bon » avocat? Connaître les tenants et aboutissants du droit familial? Gagner ses procès? Être capable d’arracher une admission à un témoin récalcitrant lors d’un contre-interrogatoire? Ce sont certes-là des éléments à considérer. Mais ça ne s’arrête pas là!
Le fait d’entretenir une bonne communication avec son client constitue certainement un facteur dominant. Même dans les dossiers les plus compliqués, une relation se crée généralement à un niveau ou à un autre entre l’avocat et son client et cette relation est de la plus haute importance. En effet, on ne peut se considérer être un « bon » avocat si l’on s’occupe du dossier, mais que l’on néglige l’individu qui se trouve derrière.
Personne n’est à l’abri de reproches ou d’une poursuite en responsabilité professionnelle, peu importe le nombre d’années d’expérience ou que l’on travaille dans un grand ou petit cabinet ou comme avocat solo. Et ces reproches peuvent venir du client ou d’un tiers, la partie adverse.
Mise en garde : Cette formation a un caractère purement préventif puisque malheureusement, cela n’arrive pas juste aux autres…
Conférencières : |
Me Aurélie Lompré et Me Judith Guérin, avocates Service de prévention Fonds d’assurance responsabilité professionnelle du Barreau du Québec |
Durée : | 1 h 30 m |